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JO Paris 2024 : L’Appel de Rachida Dati Aux Élus Insoumis

La ministre démissionnaire Rachida Dati appelle les élus insoumis à mettre de côté leurs critiques des JO de Paris 2024 le temps de célébrer les exploits de nos sportifs. Mais le fossé politique semble...

Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 battent leur plein, la ministre démissionnaire de la Culture Rachida Dati a lancé un appel du pied aux élus de La France Insoumise. Invitée sur CNews-Europe 1 ce lundi, l’ancienne Garde des Sceaux les a invités à “venir supporter nos athlètes français” malgré leurs réserves affichées sur l’événement. Un message d’unité nationale qui peine cependant à faire l’unanimité dans un contexte de fortes divisions politiques.

Une “liesse populaire” qui ne fait pas l’unanimité

Depuis le début des épreuves, les sportifs tricolores enchaînent les médailles, déclenchant une ferveur bien visible dans les rues de la capitale. Une “liesse populaire” saluée par Rachida Dati, mais qui tranche avec la réserve de certains élus insoumis.

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Outre cette commission, certaines figures de La France Insoumise n’ont pas manqué de tacler la couverture médiatique des Jeux, jugée trop focalisée sur les performances françaises. C’est notamment le cas du député Arnaud Saint-Martin, qui a dénoncé dans un tweet une “régression nationaliste” et un traitement “chauviniste” de la compétition.

Je les invite à venir supporter nos athlètes français.

– Rachida Dati, ministre démissionnaire de la Culture

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Des critiques qui passent mal

Outre cette commission, certaines figures de La France Insoumise n’ont pas manqué de tacler la couverture médiatique des Jeux, jugée trop focalisée sur les performances françaises. C’est notamment le cas du député Arnaud Saint-Martin, qui a dénoncé dans un tweet une “régression nationaliste” et un traitement “chauviniste” de la compétition.

Je les invite à venir supporter nos athlètes français.

– Rachida Dati, ministre démissionnaire de la Culture

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Des critiques qui passent mal

Outre cette commission, certaines figures de La France Insoumise n’ont pas manqué de tacler la couverture médiatique des Jeux, jugée trop focalisée sur les performances françaises. C’est notamment le cas du député Arnaud Saint-Martin, qui a dénoncé dans un tweet une “régression nationaliste” et un traitement “chauviniste” de la compétition.

Je les invite à venir supporter nos athlètes français.

– Rachida Dati, ministre démissionnaire de la Culture

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Début août, le groupe LFI à l’Assemblée nationale a ainsi annoncé le lancement d’une “commission d’enquête populaire” sur les JO, promettant d’auditionner des membres de l’organisation sur les implications sociales, économiques et écologiques de l’événement. Une initiative vivement dénoncée par l’ancienne ministre, pour qui ces élus sont “déconnectés des Français”.

Des critiques qui passent mal

Outre cette commission, certaines figures de La France Insoumise n’ont pas manqué de tacler la couverture médiatique des Jeux, jugée trop focalisée sur les performances françaises. C’est notamment le cas du député Arnaud Saint-Martin, qui a dénoncé dans un tweet une “régression nationaliste” et un traitement “chauviniste” de la compétition.

Je les invite à venir supporter nos athlètes français.

– Rachida Dati, ministre démissionnaire de la Culture

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

Début août, le groupe LFI à l’Assemblée nationale a ainsi annoncé le lancement d’une “commission d’enquête populaire” sur les JO, promettant d’auditionner des membres de l’organisation sur les implications sociales, économiques et écologiques de l’événement. Une initiative vivement dénoncée par l’ancienne ministre, pour qui ces élus sont “déconnectés des Français”.

Des critiques qui passent mal

Outre cette commission, certaines figures de La France Insoumise n’ont pas manqué de tacler la couverture médiatique des Jeux, jugée trop focalisée sur les performances françaises. C’est notamment le cas du député Arnaud Saint-Martin, qui a dénoncé dans un tweet une “régression nationaliste” et un traitement “chauviniste” de la compétition.

Je les invite à venir supporter nos athlètes français.

– Rachida Dati, ministre démissionnaire de la Culture

Des propos qui sont très mal passés du côté de la majorité présidentielle, Rachida Dati en tête. “C’est dommage d’avoir des élus déconnectés à ce point des Français”, a-t-elle taclé, invitant ses contradicteurs à se rendre sur les sites olympiques pour prendre le pouls d’une fête qui célèbre avant tout “le sport amateur”.

L’ombre de la future présidentielle

Pour la ministre démissionnaire, la “passion” et la “fierté” qui animent les supporters français durant ces Jeux n’ont rien à voir avec un quelconque nationalisme. “Ce sont les Français qui travaillent, qui ont cette passion du sport et de leur pays”, a-t-elle insisté, se réjouissant d’une “contagion” positive à même de rassembler au-delà des clivages politiques.

Mais à moins d’un an de la présidentielle de 2025, il semble difficile pour La France Insoumise de faire abstraction du contexte politique. En maintenant la pression sur les enjeux sociaux et environnementaux de Paris 2024, quitte à aller à contre-courant de l’enthousiasme national, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon entend bien imposer ses thèmes de prédilection dans le débat public. Quitte à donner l’image d’élus déconnectés des attentes des français ?

Une impression renforcée par la contre-offensive des macronistes, Rachida Dati en première ligne, bien décidés à surfer sur la dynamique positive de ces Jeux à un an du grand rendez-vous électoral. Entre liesse populaire et positionnements politiques, les Jeux de Paris semblent en tout cas avoir du mal à échapper à la pression de 2025.

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