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L’ultragauche française déclare la guerre aux JO de Paris

Les saboteurs de l'ultragauche voient rouge avec les JO de Paris 2024. Sabotages, destruction d'antennes relais, tentative de torpiller les cérémonies... Jusqu'où iront-ils pour semer le chaos ? Le ministre de l'Intérieur tire la sonnette d'alarme.

Alors que la France se prépare fébrilement à accueillir les Jeux Olympiques de Paris 2024, un vent de révolte souffle dans les rangs de l’ultragauche. Pour ces activistes radicaux, pas question de célébrer la fête du sport. Au contraire, ils voient dans cet événement planétaire l’incarnation de tout ce qu’ils exècrent, à commencer par la société du spectacle et le capitalisme triomphant. Leur objectif : torpiller par tous les moyens ces Jeux olympiques honnis.

Sabotages en série contre les infrastructures

Depuis plusieurs semaines, les groupes d’ultragauche multiplient les actions coup de poing, ciblant en priorité les infrastructures stratégiques. Leur dernier fait d’armes en date : la destruction coordonnée d’une dizaine d’antennes relais, dans la nuit du 25 au 26 juillet, avec pour but assumé de paralyser le réseau TGV et de perturber l’acheminement des délégations pour les cérémonies d’ouverture.

Si ces opérations commandos n’ont pas été revendiquées, elles portent indéniablement la marque des réseaux d’ultragauche, habitués à ce type de sabotages. Les dégâts sont considérables, privant des milliers de voyageurs de train et obligeant la SNCF à un véritable jeu de chaises musicales pour assurer un service minimum.

Des menaces prises très au sérieux

Face à cette escalade, le ministère de l’Intérieur a décidé de muscler son dispositif de sécurité. Des renforts policiers ont été dépêchés pour surveiller 24h/24 les sites sensibles des JO, de peur de nouvelles attaques.

Nous prenons la menace de l’ultragauche très au sérieux. Ces groupuscules sont déterminés à en découdre et à gâcher la fête par tous les moyens. Nous serons intraitables.

– Un haut-responsable du ministère de l’Intérieur

La crainte d’un scénario catastrophe

Au-delà des dégradations matérielles, c’est le spectre d’actions terroristes qui hante les autorités. Et si des activistes parvenaient à s’introduire dans une enceinte olympique pour commettre un attentat suicide ou prendre des otages ? Ce scénario du pire est pris très au sérieux, obligeant les forces de l’ordre à un véritable numéro d’équilibriste entre fermeté et discrétion pour ne pas plomber l’ambiance.

Une riposte judiciaire musclée

Pour tenter de couper l’herbe sous le pied des casseurs, la justice a décidé de taper du poing sur la table. Plusieurs figures de l’ultragauche ont été interpellées ces derniers jours et mises en examen pour “association de malfaiteurs en vue de commettre des dégradations” et “entrave à la circulation des trains”. D’autres ont été assignées à résidence pour limiter leurs déplacements.

Mais ces mesures suffiront-elles à contenir la vague noire qui s’apprête à déferler sur les Jeux ? Rien n’est moins sûr tant la haine anti-olympique semble ancrée chez certains activistes, prêts à en découdre au prix de leur liberté, voire de leur vie. Une chose est sûre : les JO de Paris 2024 se dérouleront sous haute tension, avec en toile de fond l’épée de Damoclès d’un attentat ou de sabotages à grande échelle. Les services de sécurité sont sur le qui-vive mais ne pourront jamais écarter totalement le risque zéro. La fête pourrait bien tourner au cauchemar.

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