Imaginez-vous, en plein après-midi, au bord d’une route fréquentée. Soudain, les cris d’une femme retentissent. Ses vêtements sont déchirés, elle est pratiquement nue, terrifiée. Un homme tente de l’entraîner de force dans les fourrés. Cette scène cauchemardesque s’est déroulée en Italie, à Desio, le 31 juillet dernier. La victime, une Italienne d’origine asiatique de 39 ans, a été sauvée in extremis d’un viol brutal grâce à l’intervention de témoins et de la police.
Un agresseur marocain récidiviste
L’auteur présumé de cette agression n’est autre qu’un migrant clandestin marocain de 27 ans, connu des services de police. Quelques semaines auparavant, il avait déjà été arrêté pour vol. Cette fois, c’est pour tentative de viol qu’il a été interpellé et placé en détention. Un acte d’une violence inouïe qui soulève de nombreuses questions sur la sécurité des femmes face à la criminalité immigrée.
Une agression en plein jour
Ce qui choque dans cette affaire, c’est le caractère imprévisible et soudain de l’attaque. La victime se serait tout simplement perdue en descendant du mauvais bus. C’est alors qu’elle a croisé la route de son agresseur qui lui a d’abord proposé son aide avant de dévoiler ses véritables intentions :
Le jeune homme, dans la rue, manifeste ses véritables intentions en lui posant les mains, en essayant de lui enlever ses vêtements (il la déshabille presque complètement) et en l’entraînant de force dans la végétation.
Milano Corierre
Si des témoins n’étaient pas intervenus, on ose à peine imaginer ce qu’il serait advenu de cette pauvre femme. Cette agression en pleine rue et en plein jour montre que plus aucun lieu ni aucun moment ne sont sûrs.
L’immigration incontrôlée en question
Derrière ce fait divers sordide se cache une réalité que certains préfèrent occulter : celle d’une immigration clandestine qui importe sur le sol européen une criminalité de plus en plus violente. Le profil de l’agresseur est en effet éloquent :
L’agresseur est un citoyen marocain de 23 ans sans titre de séjour et ayant des antécédents de délits contre les biens.
Il Giorno
Combien de drames comme celui-ci faudra-t-il pour qu’une vraie réflexion soit menée sur les dangers d’une immigration incontrôlée ? Combien de femmes devront encore être agressées, violées, voire tuées par des clandestins multirécidivistes avant que des mesures fortes ne soient prises ?
Protéger les femmes, une urgence absolue
Face à la multiplication de ces agressions, il est temps de replacer la sécurité des femmes au cœur des priorités. Cela passe par :
- Un meilleur contrôle des flux migratoires
- L’expulsion systématique des clandestins délinquants
- Des peines plus sévères pour les agresseurs sexuels
- Une meilleure prise en charge des victimes
Il est inadmissible qu’en 2024, des femmes ne puissent plus se déplacer librement sans craindre pour leur intégrité physique. C’est la responsabilité de l’État de garantir à toutes et à tous le droit fondamental à la sécurité. Et ce droit ne doit souffrir d’aucun compromis, d’aucune soumission au politiquement correct.
L’affaire de Desio doit sonner comme un électrochoc. Elle nous rappelle tragiquement que derrière les discours angéliques sur l’accueil et le vivre-ensemble, la réalité est celle d’une ultra-violence décomplexée qui s’attaque aux plus vulnérables. Il est plus que temps d’agir, avant qu’un nouveau drame ne vienne endeuiller les familles et traumatiser les victimes.