Après des années de guerre et de négligence, un vent d’espoir souffle sur l’est de la Libye. Sous l’impulsion du clan Haftar, la région de Cyrénaïque se transforme en un vaste chantier, où les pelleteuses s’activent pour reconstruire ce qui a été détruit. Cette “diplomatie du béton” semble porter ses fruits, permettant à la famille du Maréchal de gagner en popularité auprès d’une population éprouvée.
Le réveil de Derna, symbole d’un renouveau
Située à 300 km à l’est de Benghazi, la ville de Derna illustre parfaitement ce retour à la vie. Neuf mois après le passage dévastateur de la tempête Daniel, qui avait fait plus de 8000 morts et disparus, les habitants profitent à nouveau des joies simples du quotidien. Au parc de la rue des Jardins, les enfants s’amusent sur des aires de jeux flambant neuves, tandis que les adultes savourent la fraîcheur du soir. Des scènes inédites en Libye, rendues possibles grâce au travail acharné des équipes de reconstruction dirigées par Belgacem Haftar, l’un des fils du Maréchal.
Je n’aurais jamais cru voir ça de mon vivant. C’est un véritable miracle !
– Un habitant de Derna
Un élan de solidarité sans précédent
Au lendemain de la tempête, un formidable élan de générosité s’est emparé de la population. Des centaines de volontaires se sont mobilisés pour déblayer les décombres et porter secours aux sinistrés. Le fonds de reconstruction dirigé par Belgacem Haftar a récolté des dons venus des quatre coins du pays, permettant de financer les travaux les plus urgents. Toits effondrés, routes coupées, réseaux d’eau et d’électricité hors-service… Les dégâts étaient considérables, mais la détermination des habitants encore plus grande.
La famille Haftar, fer de lance de la reconstruction
Si les initiatives citoyennes ont joué un rôle clé dans ce renouveau, c’est bien le clan Haftar qui en est le principal artisan. Depuis son fief de Benghazi, le Maréchal a donné carte blanche à son fils Belgacem pour piloter les opérations. Ce dernier a su s’entourer d’une équipe compétente et mobiliser les moyens nécessaires pour redonner vie aux villes et villages dévastés. Écoles, hôpitaux, bâtiments publics… Aucun chantier n’est trop grand pour celui qui ambitionne de devenir le prochain homme fort de la Cyrénaïque.
Une popularité grandissante pour le clan Haftar
Cette “diplomatie du béton” semble porter ses fruits. Alors que la Libye reste profondément divisée, la famille Haftar gagne en popularité dans l’est du pays. Pour beaucoup, elle incarne l’espoir d’un retour à la stabilité après des années de chaos. Les sondages officieux la donnent largement gagnante si des élections venaient à être organisées en Cyrénaïque. Un succès qui doit autant à son efficacité sur le terrain qu’à sa communication bien rodée.
Vers une normalisation de la situation?
Malgré ces avancées, le chemin vers une normalisation complète de la situation reste long. De nombreux défis attendent encore la région, qu’ils soient sécuritaires, économiques ou politiques. Mais l’espoir est désormais permis. Grâce au travail de la famille Haftar et à la résilience de la population, l’est libyen revit peu à peu. Les plaies du passé commencent à se refermer, laissant entrevoir un avenir meilleur. La diplomatie du béton aura-t-elle raison des vieux démons de la Libye ? L’avenir nous le dira.
Cette “diplomatie du béton” semble porter ses fruits. Alors que la Libye reste profondément divisée, la famille Haftar gagne en popularité dans l’est du pays. Pour beaucoup, elle incarne l’espoir d’un retour à la stabilité après des années de chaos. Les sondages officieux la donnent largement gagnante si des élections venaient à être organisées en Cyrénaïque. Un succès qui doit autant à son efficacité sur le terrain qu’à sa communication bien rodée.
Vers une normalisation de la situation?
Malgré ces avancées, le chemin vers une normalisation complète de la situation reste long. De nombreux défis attendent encore la région, qu’ils soient sécuritaires, économiques ou politiques. Mais l’espoir est désormais permis. Grâce au travail de la famille Haftar et à la résilience de la population, l’est libyen revit peu à peu. Les plaies du passé commencent à se refermer, laissant entrevoir un avenir meilleur. La diplomatie du béton aura-t-elle raison des vieux démons de la Libye ? L’avenir nous le dira.