Il y a des jours où le sport français écrit sa légende en lettres d’or. Ce vendredi 3 août 2024 en est l’illustration parfaite. Sur la piste de BMX de Saint-Quentin-en-Yvelines, Joris Daudet, Sylvain André et Romain Mahieu ont réalisé un authentique exploit en s’offrant les trois marches du podium olympique. Un triplé historique qui n’est pas sans rappeler celui du skicross à Sotchi il y a dix ans.
Le triplé du skicross en héritage
Le 20 février 2014, Jean-Frédéric Chapuis, Arnaud Bovolenta et Jonathan Midol s’étaient illustrés en réalisant un triplé mémorable dans l’épreuve de skicross des Jeux Olympiques de Sotchi. Une démonstration de force suivie par toute une génération. Ces images de la Marseillaise retentissant pour les trois amis sont restées dans toutes les mémoires.
On a réussi à faire quelque chose d’historique avec les copains, c’est incroyable.
– Joris Daudet, champion olympique de BMX
Un nouveau chapitre glorieux pour le sport français
Dix ans plus tard, c’est donc au tour du BMX tricolore de marquer l’histoire olympique. Dans un contexte de pression supplémentaire à domicile, Daudet, André et Mahieu ont réussi l’incroyable pari de monter ensemble sur le podium. Un moment d’émotion intense, les regards lâchés en arrière par les deux premiers pour s’assurer que le troisième soit bien là aussi.
Cette journée exceptionnelle du sport français a également été marquée par les titres de Teddy Riner en judo et de Léon Marchand en natation, ainsi que par la médaille de bronze de Florent Manaudou. Une moisson qui propulse l’équipe de France en tête du tableau des médailles.
Un triplé éminemment supérieur
Si l’analogie avec le skicross de Sotchi est évidente, l’exploit du BMX apparaît en réalité bien supérieur sur le plan sportif :
- La pression de briller à domicile devant son public
- Réussir à mettre trois coureurs sur les huit en finale
- L’incertitude jusqu’au bout dans un sport où le moindre écart se paye cash
Là où le skicross offrait un avantage relatif avec trois Français sur quatre en finale, le BMX a vu les tricolores réaliser un sans-faute absolu pour écoeurer la concurrence.
Le BMX français au sommet
Cette médaille d’or de Joris Daudet couronne une carrière exceptionnelle. Déjà triple champion du monde, le pilier des Bleus est enfin récompensé pour sa longévité et son palmarès exceptionnel. À 31 ans, il offre à la France son premier titre olympique en BMX.
Une consécration qui vient valider tout le travail réalisé par la fédération française ces dernières années pour amener le BMX tricolore au sommet. Les podiums mondiaux se sont enchaînés, dessinant les contours d’une véritable dream team incarnée par cette génération dorée.
Tout s’est passé comme on le souhaitait. On a marqué l’histoire du BMX et des JO.
– Joris Daudet
Paris 2024, déjà dans la légende
Au-delà du BMX, c’est bien le bilan général de ce début des Jeux Olympiques de Paris qui est absolument remarquable pour le sport français. Déjà 10 médailles d’or après seulement 5 jours de compétition. Du jamais vu !
Les exploits s’enchaînent, les émotions s’entremêlent. De quoi présager une moisson historique et espérer titiller la barre mythique des 40 médailles. Le record absolu pour une nation aux JO d’été.
Après Londres 2012 et ses 35 médailles, puis Rio 2016 et ses 42 breloques, Paris s’annonce d’ores et déjà comme un sommet pour le sport français. Dans le sillage du triplé magique du BMX, les Bleus sont en mission pour marquer l’histoire. Et force est de constater que le pari est plus que jamais en passe d’être réussi !
Dix ans plus tard, c’est donc au tour du BMX tricolore de marquer l’histoire olympique. Dans un contexte de pression supplémentaire à domicile, Daudet, André et Mahieu ont réussi l’incroyable pari de monter ensemble sur le podium. Un moment d’émotion intense, les regards lâchés en arrière par les deux premiers pour s’assurer que le troisième soit bien là aussi.
Cette journée exceptionnelle du sport français a également été marquée par les titres de Teddy Riner en judo et de Léon Marchand en natation, ainsi que par la médaille de bronze de Florent Manaudou. Une moisson qui propulse l’équipe de France en tête du tableau des médailles.
Un triplé éminemment supérieur
Si l’analogie avec le skicross de Sotchi est évidente, l’exploit du BMX apparaît en réalité bien supérieur sur le plan sportif :
- La pression de briller à domicile devant son public
- Réussir à mettre trois coureurs sur les huit en finale
- L’incertitude jusqu’au bout dans un sport où le moindre écart se paye cash
Là où le skicross offrait un avantage relatif avec trois Français sur quatre en finale, le BMX a vu les tricolores réaliser un sans-faute absolu pour écoeurer la concurrence.
Le BMX français au sommet
Cette médaille d’or de Joris Daudet couronne une carrière exceptionnelle. Déjà triple champion du monde, le pilier des Bleus est enfin récompensé pour sa longévité et son palmarès exceptionnel. À 31 ans, il offre à la France son premier titre olympique en BMX.
Une consécration qui vient valider tout le travail réalisé par la fédération française ces dernières années pour amener le BMX tricolore au sommet. Les podiums mondiaux se sont enchaînés, dessinant les contours d’une véritable dream team incarnée par cette génération dorée.
Tout s’est passé comme on le souhaitait. On a marqué l’histoire du BMX et des JO.
– Joris Daudet
Paris 2024, déjà dans la légende
Au-delà du BMX, c’est bien le bilan général de ce début des Jeux Olympiques de Paris qui est absolument remarquable pour le sport français. Déjà 10 médailles d’or après seulement 5 jours de compétition. Du jamais vu !
Les exploits s’enchaînent, les émotions s’entremêlent. De quoi présager une moisson historique et espérer titiller la barre mythique des 40 médailles. Le record absolu pour une nation aux JO d’été.
Après Londres 2012 et ses 35 médailles, puis Rio 2016 et ses 42 breloques, Paris s’annonce d’ores et déjà comme un sommet pour le sport français. Dans le sillage du triplé magique du BMX, les Bleus sont en mission pour marquer l’histoire. Et force est de constater que le pari est plus que jamais en passe d’être réussi !