C’est par une note amère que démarre le tir sportif français aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Malgré les espoirs placés en eux, les deux duos tricolores engagés en carabine à 10 mètres mixte n’ont pas réussi à décrocher leur billet pour la finale tant convoitée.
Mannon Herbulot et Romain Aufrère terminent à une décevante 9e place avec 627,4 points, tandis qu’Océanne Muller et Lucas Kryzs pointent au 14e rang avec 625,8 unités. Des scores insuffisants pour prétendre au top 8 qualificatif et ainsi jouer les premiers rôles dans cette épreuve mixte, disputée au centre national de tir sportif de Châteauroux.
La Chine et la Corée pour l’or, le Kazakhstan et l’Allemagne pour le bronze
Pendant que les Français restaient à quai, la Chine et la Corée du Sud, ogres de la discipline, assuraient sans trembler leur place en finale. Ces deux nations se disputeront ainsi la première médaille d’or de ces Jeux de Paris en tir.
Derrière ce duel au sommet, le Kazakhstan et l’Allemagne batailleront pour compléter le podium et décrocher le bronze. Une “petite” finale qui aurait pu être accessible aux Bleus avec un peu plus de réussite et de précision dans leurs tirs.
Océanne Muller, un échec surprenant
Pour Océanne Muller, médaillée olympique à Tokyo en 2021 et championne d’Europe en titre de la carabine à 10m, cet échec a un goût particulièrement amer. La tireuse lorraine, pourtant en pleine confiance en arrivant à Paris, n’a pas su élever son niveau de jeu au moment crucial.
Associée à Lucas Kryzs, un partenaire encore un peu tendre au niveau international, elle n’a pas pu combler le manque d’expérience du duo. Une déception qu’il faudra vite digérer pour la suite de son programme olympique.
Se remobiliser pour la suite
Pour l’équipe de France de tir, il s’agit maintenant de relever la tête et de se remobiliser. D’autres épreuves arrivent vite et les chances de médailles sont encore nombreuses. En carabine comme au pistolet, en individuel ou par équipes, les tireurs tricolores devront faire parler leur talent pour ne pas rentrer bredouilles de leurs Jeux à domicile.
Le public français, si enthousiaste lors de la cérémonie d’ouverture, attend désormais des résultats et des podiums de la part de ses représentants. À eux de transformer la pression en énergie positive pour aller chercher ces médailles tant espérées et faire résonner la Marseillaise dans les pas de tir franciliens.
Les Jeux ne font que commencer, tout reste possible pour ce groupe talentueux. Mais il faudra hausser le curseur dès les prochains jours pour ne pas vivre d’autres désillusions comme celle de ce samedi matin à Châteauroux.
Derrière ce duel au sommet, le Kazakhstan et l’Allemagne batailleront pour compléter le podium et décrocher le bronze. Une “petite” finale qui aurait pu être accessible aux Bleus avec un peu plus de réussite et de précision dans leurs tirs.
Océanne Muller, un échec surprenant
Pour Océanne Muller, médaillée olympique à Tokyo en 2021 et championne d’Europe en titre de la carabine à 10m, cet échec a un goût particulièrement amer. La tireuse lorraine, pourtant en pleine confiance en arrivant à Paris, n’a pas su élever son niveau de jeu au moment crucial.
Associée à Lucas Kryzs, un partenaire encore un peu tendre au niveau international, elle n’a pas pu combler le manque d’expérience du duo. Une déception qu’il faudra vite digérer pour la suite de son programme olympique.
Se remobiliser pour la suite
Pour l’équipe de France de tir, il s’agit maintenant de relever la tête et de se remobiliser. D’autres épreuves arrivent vite et les chances de médailles sont encore nombreuses. En carabine comme au pistolet, en individuel ou par équipes, les tireurs tricolores devront faire parler leur talent pour ne pas rentrer bredouilles de leurs Jeux à domicile.
Le public français, si enthousiaste lors de la cérémonie d’ouverture, attend désormais des résultats et des podiums de la part de ses représentants. À eux de transformer la pression en énergie positive pour aller chercher ces médailles tant espérées et faire résonner la Marseillaise dans les pas de tir franciliens.
Les Jeux ne font que commencer, tout reste possible pour ce groupe talentueux. Mais il faudra hausser le curseur dès les prochains jours pour ne pas vivre d’autres désillusions comme celle de ce samedi matin à Châteauroux.