Une onde de choc secoue actuellement le Parlement européen. Au cœur du tumulte, un affrontement politique des plus virulents opposant François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains, et Rima Hassan, élue La France Insoumise. Cette dernière a proféré des menaces à peine voilées envers son homologue, déclenchant l’indignation dans les rangs de la droite.
Une candidature contestée, genèse du conflit
Tout a commencé lorsque Rima Hassan a brigué le poste de vice-présidente de la commission des droits de l’homme (DROI) du Parlement européen. Une candidature aussitôt contestée par la droite européenne, en particulier François-Xavier Bellamy, estimant inacceptable de confier une telle responsabilité à une élue « poursuivie pour apologie du terrorisme en France ». Face au blocage, la tension est montée d’un cran.
Des propos d’une rare violence
Sur le réseau social X (ex-Twitter), Rima Hassan a lancé une charge d’une virulence rare à l’encontre de François-Xavier Bellamy :
Pour le moment François-Xavier Bellamy et ses petits copains, proches du régime génocidaire israélien, dorment bien la nuit. Ça ne va pas durer.
– Rima Hassan, députée européenne LFI
Des propos menaçants, auxquels l’eurodéputé LR, bien que choqué, a préféré ne pas réagir dans l’immédiat. Mais il peut compter sur le soutien sans faille de ses alliés politiques.
Laurent Wauquiez monte au créneau
Le patron des Républicains, Laurent Wauquiez, a immédiatement condamné les attaques de Rima Hassan, l’accusant de « coller une cible dans le dos » de François-Xavier Bellamy pour le « réduire au silence ». Il dénonce une rhétorique digne « des acolytes du Hamas », appelant la justice et le Parlement européen à sévir.
Les institutions appelées à réagir
Au-delà de la joute verbale, c’est bien la question des limites du débat politique qui est posée. Jusqu’où peuvent aller les attaques personnelles entre élus ? Les menaces, même voilées, sont-elles acceptables dans une démocratie ? Voilà les interrogations qui agitent les couloirs du Parlement européen. Beaucoup attendent désormais une réponse ferme des institutions.
Si François-Xavier Bellamy a pour l’heure choisi de ne pas envenimer la situation, il n’en reste pas moins déterminé à faire barrage à Rima Hassan. Affaire à suivre, tant elle cristallise les tensions entre deux visions radicalement opposées de la politique.
Le patron des Républicains, Laurent Wauquiez, a immédiatement condamné les attaques de Rima Hassan, l’accusant de « coller une cible dans le dos » de François-Xavier Bellamy pour le « réduire au silence ». Il dénonce une rhétorique digne « des acolytes du Hamas », appelant la justice et le Parlement européen à sévir.
Les institutions appelées à réagir
Au-delà de la joute verbale, c’est bien la question des limites du débat politique qui est posée. Jusqu’où peuvent aller les attaques personnelles entre élus ? Les menaces, même voilées, sont-elles acceptables dans une démocratie ? Voilà les interrogations qui agitent les couloirs du Parlement européen. Beaucoup attendent désormais une réponse ferme des institutions.
Si François-Xavier Bellamy a pour l’heure choisi de ne pas envenimer la situation, il n’en reste pas moins déterminé à faire barrage à Rima Hassan. Affaire à suivre, tant elle cristallise les tensions entre deux visions radicalement opposées de la politique.