Les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont déjà sous le feu des projecteurs, non pas pour les prouesses sportives à venir, mais pour un imbroglio diplomatique de taille. Le refus d’accréditer des journalistes russes pour couvrir l’événement a suscité l’ire du Kremlin, qui n’a pas mâché ses mots pour fustiger cette décision.
Une “violation inacceptable de la liberté de la presse” selon Moscou
C’est un véritable pavé dans la mare qu’a jeté le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son point presse quotidien ce lundi. Qualifiant “d’inacceptable” le refus d’accréditation opposé à cinq journalistes de l’agence d’État Ria Novosti, il a dénoncé sans ambages une “violation de la liberté de la presse”.
Nous considérons cette décision comme étant inacceptable et une violation de la liberté de la presse.
Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin
Selon les informations rapportées par Ria Novosti, le comité d’organisation des Jeux aurait justifié ce refus en invoquant le “code de sécurité intérieure” français, après consultation d’un “organe administratif compétent” ayant émis un “avis défavorable”.
Paris assume et revendique ce choix
Loin de se dédouaner, les autorités françaises assument pleinement cette décision controversée. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, dans une interview au Journal du Dimanche, a confirmé avoir refusé l’accès aux JO à “moins d’une centaine de personnes” suspectées de vouloir mener des activités d’ingérence, parmi lesquelles de nombreux journalistes russes.
Nous avons par exemple refusé des journalistes en grand nombre, qui prétendaient couvrir les Jeux. En revanche, nous avons accepté la présence de Russes qui travaillent pour le Comité international olympique (CIO). Nous appliquons le principe de précaution.
Gérald Darmanin, ministre français de l’Intérieur
Une position ferme que l’exécutif français justifie par les risques d’espionnage et de cyberattaques, dans un contexte de tensions exacerbées avec Moscou depuis le début de la guerre en Ukraine.
Les Jeux Olympiques, nouveau terrain d’affrontement diplomatique
En refusant d’accréditer des journalistes russes, la France envoie un message politique fort, quitte à s’attirer les foudres du Kremlin. Une décision qui risque de peser sur l’atmosphère des Jeux, transformant la grand-messe du sport en un nouveau champ de bataille diplomatique.
Reste à savoir si cette crise aura des répercussions sur la participation des athlètes russes, déjà suspendue à un fil depuis les révélations de dopage institutionnalisé. Une chose est sûre : les JO de Paris 2024 s’annoncent d’ores et déjà sous haute tension, bien loin de l’idéal de paix et de fraternité cher à l’olympisme.
En refusant d’accréditer des journalistes russes, la France envoie un message politique fort, quitte à s’attirer les foudres du Kremlin. Une décision qui risque de peser sur l’atmosphère des Jeux, transformant la grand-messe du sport en un nouveau champ de bataille diplomatique.
Reste à savoir si cette crise aura des répercussions sur la participation des athlètes russes, déjà suspendue à un fil depuis les révélations de dopage institutionnalisé. Une chose est sûre : les JO de Paris 2024 s’annoncent d’ores et déjà sous haute tension, bien loin de l’idéal de paix et de fraternité cher à l’olympisme.
Cette polémique vient s’ajouter à une longue liste de différends qui opposent Paris et Moscou depuis le début du conflit ukrainien. Malgré une tentative initiale de maintenir le dialogue, la France a progressivement durci le ton face à la Russie, rejoignant le concert des nations occidentales qui soutiennent activement l’Ukraine.
En refusant d’accréditer des journalistes russes, la France envoie un message politique fort, quitte à s’attirer les foudres du Kremlin. Une décision qui risque de peser sur l’atmosphère des Jeux, transformant la grand-messe du sport en un nouveau champ de bataille diplomatique.
Reste à savoir si cette crise aura des répercussions sur la participation des athlètes russes, déjà suspendue à un fil depuis les révélations de dopage institutionnalisé. Une chose est sûre : les JO de Paris 2024 s’annoncent d’ores et déjà sous haute tension, bien loin de l’idéal de paix et de fraternité cher à l’olympisme.
Cette polémique vient s’ajouter à une longue liste de différends qui opposent Paris et Moscou depuis le début du conflit ukrainien. Malgré une tentative initiale de maintenir le dialogue, la France a progressivement durci le ton face à la Russie, rejoignant le concert des nations occidentales qui soutiennent activement l’Ukraine.
En refusant d’accréditer des journalistes russes, la France envoie un message politique fort, quitte à s’attirer les foudres du Kremlin. Une décision qui risque de peser sur l’atmosphère des Jeux, transformant la grand-messe du sport en un nouveau champ de bataille diplomatique.
Reste à savoir si cette crise aura des répercussions sur la participation des athlètes russes, déjà suspendue à un fil depuis les révélations de dopage institutionnalisé. Une chose est sûre : les JO de Paris 2024 s’annoncent d’ores et déjà sous haute tension, bien loin de l’idéal de paix et de fraternité cher à l’olympisme.
