Le géant français du ferroviaire Alstom vient de frapper un grand coup. Le groupe a annoncé ce jeudi avoir décroché un méga-contrat d’un milliard d’euros en Australie pour équiper la ligne de métro de Perth, la capitale de l’Australie-Occidentale, avec son système de signalisation dernier cri Urbalis. Un projet d’une ampleur inédite qui propulse Alstom dans une nouvelle dimension.
250 km de voies automatisées, une première mondiale
La commande passée par l’Autorité de transport public de Perth (PTA) porte sur l’installation du système de contrôle automatique des trains Urbalis CBTC (Communication Based Train Control) sur l’intégralité du réseau suburbain de la ville. Soit pas moins de 250 km de voies ferrées et 94 stations, dont une extension de 72 km et 23 nouvelles stations. Du jamais vu !
C’est le plus grand projet de signalisation au monde, en termes de longueur de ligne, avec 250 km de réseau. Nous allons l’équiper avec Urbalis CBTC, notre système le plus avancé de contrôle automatique du trafic.
– Ling Fang, présidente d’Alstom Asie-Pacifique
Avec ce contrat, Perth rejoint le club des 190 villes dans 32 pays qui ont adopté la solution Urbalis d’Alstom pour gérer leur métro. Après Sidney et Melbourne, c’est la troisième métropole australienne à franchir le pas.
Un système à la pointe de la technologie
Le système de signalisation Urbalis CBTC développé par Alstom est ce qui se fait de plus moderne en matière d’automatisation des métros. Grâce à une communication continue entre les trains et les équipements au sol, il permet :
- D’optimiser les intervalles entre les rames
- De s’adapter en temps réel au trafic
- De maximiser la capacité de transport
- D’améliorer la régularité et la ponctualité du service
- De renforcer la sécurité grâce à une surveillance constante
Le tout avec une cybersécurité renforcée pour parer à toute tentative de piratage. De quoi offrir un service de transport premium aux habitants de Perth.
Une vitrine technologique pour Alstom
Au-delà de son montant record, ce contrat représente un formidable tremplin pour Alstom dans la région Asie-Pacifique, où le marché de la signalisation ferroviaire urbaine est en plein boom. Les métropoles sont de plus en plus nombreuses à vouloir se doter de réseaux de transports modernes et efficaces pour répondre aux besoins croissants de mobilité de leur population.
Le projet de Perth servira de flagship à Alstom pour promouvoir son savoir-faire dans le domaine. Une belle carte de visite pour conquérir de nouveaux marchés sur ce continent. D’autant que le groupe français est déjà bien implanté en Australie, où il a installé ses solutions dans plusieurs villes et sur le réseau ferré national.
Un atout dans la course à la mobilité du futur
Plus largement, ce méga-deal australien conforte la position d’Alstom comme acteur majeur de la mobilité intelligente et durable. Un secteur en pleine effervescence, boosté par l’urgence climatique et l’essor des villes connectées. Avec ses solutions d’automatisation des transports comme Urbalis, le groupe est en pole position pour tirer son épingle du jeu.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Alstom a placé la signalisation au cœur de sa stratégie. Le groupe y voit un formidable relais de croissance pour les années à venir. Et il compte bien surfer sur la vague de la modernisation des réseaux ferrés urbains pour gonfler son carnet de commandes.
Le contrat de Perth en est la parfaite illustration. Non seulement par son montant XXL, mais aussi et surtout par sa dimension stratégique. Car au-delà d’équiper le métro de la capitale ouest-australienne, c’est toute l’expertise d’Alstom dans les transports du futur que ce projet met en lumière. De quoi voir l’avenir en grand pour le champion français du ferroviaire.
Avec ce contrat, Perth rejoint le club des 190 villes dans 32 pays qui ont adopté la solution Urbalis d’Alstom pour gérer leur métro. Après Sidney et Melbourne, c’est la troisième métropole australienne à franchir le pas.
Un système à la pointe de la technologie
Le système de signalisation Urbalis CBTC développé par Alstom est ce qui se fait de plus moderne en matière d’automatisation des métros. Grâce à une communication continue entre les trains et les équipements au sol, il permet :
- D’optimiser les intervalles entre les rames
- De s’adapter en temps réel au trafic
- De maximiser la capacité de transport
- D’améliorer la régularité et la ponctualité du service
- De renforcer la sécurité grâce à une surveillance constante
Le tout avec une cybersécurité renforcée pour parer à toute tentative de piratage. De quoi offrir un service de transport premium aux habitants de Perth.
Une vitrine technologique pour Alstom
Au-delà de son montant record, ce contrat représente un formidable tremplin pour Alstom dans la région Asie-Pacifique, où le marché de la signalisation ferroviaire urbaine est en plein boom. Les métropoles sont de plus en plus nombreuses à vouloir se doter de réseaux de transports modernes et efficaces pour répondre aux besoins croissants de mobilité de leur population.
Le projet de Perth servira de flagship à Alstom pour promouvoir son savoir-faire dans le domaine. Une belle carte de visite pour conquérir de nouveaux marchés sur ce continent. D’autant que le groupe français est déjà bien implanté en Australie, où il a installé ses solutions dans plusieurs villes et sur le réseau ferré national.
Un atout dans la course à la mobilité du futur
Plus largement, ce méga-deal australien conforte la position d’Alstom comme acteur majeur de la mobilité intelligente et durable. Un secteur en pleine effervescence, boosté par l’urgence climatique et l’essor des villes connectées. Avec ses solutions d’automatisation des transports comme Urbalis, le groupe est en pole position pour tirer son épingle du jeu.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Alstom a placé la signalisation au cœur de sa stratégie. Le groupe y voit un formidable relais de croissance pour les années à venir. Et il compte bien surfer sur la vague de la modernisation des réseaux ferrés urbains pour gonfler son carnet de commandes.
Le contrat de Perth en est la parfaite illustration. Non seulement par son montant XXL, mais aussi et surtout par sa dimension stratégique. Car au-delà d’équiper le métro de la capitale ouest-australienne, c’est toute l’expertise d’Alstom dans les transports du futur que ce projet met en lumière. De quoi voir l’avenir en grand pour le champion français du ferroviaire.