Dans la nuit de mardi à mercredi, les flammes ont ravagé un mobile-home à La Roquette-sur-Siagne, paisible commune de l’arrière-pays cannois. Mais derrière ce drame se cache une histoire bien plus sombre. Quelques mois auparavant, les gendarmes avaient fait une découverte macabre dans cette même propriété : 117 cadavres de chats, certains enterrés, d’autres entassés dans un congélateur. Un véritable charnier félin.
La “Maison de l’Horreur” embrasée
Vers 2h30 du matin, un voisin donne l’alerte. Malgré l’intervention rapide des pompiers, l’occupant du mobile-home, un homme d’une soixantaine d’années, n’a pas survécu. Sur place, les secours n’ont pu que constater son décès, sans pouvoir le sauver des flammes.
Mais cette tragédie prend une tournure encore plus sinistre à la lumière des événements passés. Car cette propriété n’était pas une maison ordinaire. Elle était surnommée la “Maison de l’Horreur” depuis la perquisition du 6 février dernier, qui avait mis au jour l’impensable.
117 chats morts découverts
Suite à une plainte déposée par une association de protection des animaux, les gendarmes étaient intervenus dans cette propriété cannoise. Ce qu’ils y ont trouvé dépasse l’entendement : une cinquantaine de cadavres de chats enterrés sommairement sous des tuiles, et une soixantaine d’autres entassés dans un congélateur. Une vision d’horreur.
L’occupant des lieux, Guy V., avait alors été interpellé et placé en garde à vue. Il devait être jugé en juin pour de multiples délits envers les animaux :
- Abandon volontaire
- Privation de soins
- Maintien dans un habitat pouvant causer de la souffrance
L’origine de l’incendie en question
Avec le décès de cet homme dans l’incendie, de nombreuses questions restent en suspens. Qu’est-il arrivé à ces pauvres chats ? Comment en est-on arrivé à une telle situation ? Et surtout, quelle est l’origine de ce feu mortel ?
Le parquet de Grasse a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes du sinistre et tenter d’éclaircir les zones d’ombre de cette affaire. Les premiers éléments ne permettent pas encore de privilégier une piste.
C’est un véritable drame qui s’est produit, tant pour la victime de l’incendie que pour ces dizaines de chats qui ont péri dans des conditions atroces.
Confie une source proche de l’enquête
Accident ? Acte désespéré ? Vengeance ? Beaucoup d’hypothèses circulent sur ce qui s’est passé cette nuit-là à La Roquette-sur-Siagne. Une chose est sûre : cette “Maison de l’Horreur” n’a pas fini de faire parler d’elle et de soulever notre indignation face à la cruauté dont peuvent faire preuve certains individus à l’égard des animaux.
Un drame qui soulève bien des interrogations
Au delà de l’horreur de cette découverte macabre, ce drame met en lumière la question de la maltraitance animale et des personnalités troubles qui peuvent s’y adonner. Que s’est-il passé dans l’esprit de cet homme pour en arriver à de tels actes ? Souffrait-il de troubles psychologiques ? Y avait-il des signes avant-coureurs ?
Autant de questions qui resteront peut-être sans réponse, mais qui nous poussent à réfléchir sur la prévention de tels drames et la protection des animaux. Car si la justice devait passer pour Guy V., le sort funeste qu’il a connu ne rendra pas la vie aux dizaines de chats victimes de sa cruauté.
Cette affaire, aussi sordide soit-elle, doit servir de prise de conscience. La maltraitance animale n’est pas une fatalité et il est de notre devoir à tous d’être vigilants et de la dénoncer. Associations, voisins, proches… Chacun peut agir à son niveau pour éviter que de telles horreurs ne se reproduisent.
Espérons que la lumière sera faite sur ce qui s’est réellement passé dans cette “Maison de l’Horreur” et que la mémoire de ces pauvres chats ne sera pas oubliée. Leur calvaire et cette fin tragique doivent nous pousser à plus d’humanité et de compassion envers ces êtres sensibles qui ne demandent qu’à être aimés et protégés.
Autant de questions qui resteront peut-être sans réponse, mais qui nous poussent à réfléchir sur la prévention de tels drames et la protection des animaux. Car si la justice devait passer pour Guy V., le sort funeste qu’il a connu ne rendra pas la vie aux dizaines de chats victimes de sa cruauté.
Cette affaire, aussi sordide soit-elle, doit servir de prise de conscience. La maltraitance animale n’est pas une fatalité et il est de notre devoir à tous d’être vigilants et de la dénoncer. Associations, voisins, proches… Chacun peut agir à son niveau pour éviter que de telles horreurs ne se reproduisent.
Espérons que la lumière sera faite sur ce qui s’est réellement passé dans cette “Maison de l’Horreur” et que la mémoire de ces pauvres chats ne sera pas oubliée. Leur calvaire et cette fin tragique doivent nous pousser à plus d’humanité et de compassion envers ces êtres sensibles qui ne demandent qu’à être aimés et protégés.