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L’Espagne et l’Argentine au bord de la crise diplomatique !

Les relations diplomatiques entre l’Espagne et l’Argentine sont au plus bas après une série d’insultes lancées par le très controversé président argentin Javier Milei à l’encontre de la femme du chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez. Un nouveau coup de tonnerre dans les relations déjà tendues entre les deux pays !

L’Espagne exige des excuses, Milei enfonce le clou

Lors d’un rassemblement de l’extrême-droite à Madrid dimanche dernier, Javier Milei a qualifié Begoña Gomez, l’épouse de Pedro Sanchez, de “corrompue”. Des propos outranciers qui ont immédiatement suscité l’indignation du gouvernement espagnol. Madrid a aussitôt exigé des excuses de la part du dirigeant argentin.

Mais c’était sans compter sur le tempérament bouillonnant de Milei. De retour à Buenos Aires, le président a remis une couche, refusant catégoriquement de présenter des excuses :

Je ne vais demander des excuses en aucun cas (…) Aujourd’hui le monde entier parle des affaires de corruption de sa femme et que lui est lié à ça, au trafic d’influences. Et en plus, ils ont fait pression sur un juge.

Javier Milei, Président de l’Argentine

Pourtant, Begoña Gomez n’est visée que par une simple enquête préliminaire à ce stade. Rien ne prouve son implication dans des affaires de corruption. Mais cela n’empêche pas Milei de jeter de l’huile sur le feu…

Madrid rappelle son ambassadrice

Face à l’attitude inflexible du dirigeant argentin, l’Espagne a décidé de durcir le ton. Mardi, le ministre des Affaires étrangères José Manuel Albares a annoncé le rappel définitif de l’ambassadrice espagnole en Argentine :

L’Argentine n’a plus d’ambassadrice (d’Espagne)

José Manuel Albares, ministre espagnol des Affaires étrangères

Une mesure rare dans les relations diplomatiques, qui marque un nouveau palier dans l’escalade des tensions entre Madrid et Buenos Aires. Les deux capitales n’entretiennent plus de relations diplomatiques normales.

Milei, un dirigeant imprévisible

Depuis son accession au pouvoir en 2023, Javier Milei ne cesse de faire polémique par ses déclarations intempestives et son style peu conventionnel. Proche de l’extrême-droite, il s’est fait remarquer pour ses positions climato-sceptiques, son admiration pour Donald Trump et Jair Bolsonaro, ou encore ses diatribes anti-establishment.

Pour l’heure, Milei campe sur ses positions et refuse tout mea culpa. Mais le rappel de l’ambassadrice espagnole est un signal fort qui pourrait le pousser à infléchir son attitude. Des excuses publiques seraient un premier pas pour tenter d’apaiser les tensions.

À défaut, cette crise pourrait dégénérer et coûter cher à l’Argentine, déjà fragilisée. Il en va aussi de la crédibilité internationale de Javier Milei. À force de collectionner les polémiques et de se mettre à dos d’autres dirigeants, il risque de devenir un président inaudible et inféquentable sur la scène mondiale. À moins qu’il ne change rapidement de logiciel…

Pour l’heure, Milei campe sur ses positions et refuse tout mea culpa. Mais le rappel de l’ambassadrice espagnole est un signal fort qui pourrait le pousser à infléchir son attitude. Des excuses publiques seraient un premier pas pour tenter d’apaiser les tensions.

À défaut, cette crise pourrait dégénérer et coûter cher à l’Argentine, déjà fragilisée. Il en va aussi de la crédibilité internationale de Javier Milei. À force de collectionner les polémiques et de se mettre à dos d’autres dirigeants, il risque de devenir un président inaudible et inféquentable sur la scène mondiale. À moins qu’il ne change rapidement de logiciel…

Sur la scène internationale, il a multiplié les coups d’éclat, n’hésitant pas à s’en prendre verbalement à d’autres dirigeants. Ses relations avec plusieurs pays européens et latino-américains se sont dégradées. Beaucoup le jugent imprévisible et difficile à gérer.

L’Argentine isolée ?

Cette nouvelle crise avec l’Espagne pourrait bien achever d’isoler l’Argentine sur la scène internationale. De nombreux pays considèrent d’un mauvais œil la rhétorique incendiaire de Milei et sa tendance à attaquer personnellement d’autres dirigeants.

Déjà plongée dans une profonde crise économique, l’Argentine aurait pourtant bien besoin de garder de bonnes relations avec ses partenaires. Mais la posture va-tout-va de son président risque au contraire de lui aliéner de précieux soutiens.

Quelle sortie de crise possible ?

Pour l’heure, Milei campe sur ses positions et refuse tout mea culpa. Mais le rappel de l’ambassadrice espagnole est un signal fort qui pourrait le pousser à infléchir son attitude. Des excuses publiques seraient un premier pas pour tenter d’apaiser les tensions.

À défaut, cette crise pourrait dégénérer et coûter cher à l’Argentine, déjà fragilisée. Il en va aussi de la crédibilité internationale de Javier Milei. À force de collectionner les polémiques et de se mettre à dos d’autres dirigeants, il risque de devenir un président inaudible et inféquentable sur la scène mondiale. À moins qu’il ne change rapidement de logiciel…

Sur la scène internationale, il a multiplié les coups d’éclat, n’hésitant pas à s’en prendre verbalement à d’autres dirigeants. Ses relations avec plusieurs pays européens et latino-américains se sont dégradées. Beaucoup le jugent imprévisible et difficile à gérer.

L’Argentine isolée ?

Cette nouvelle crise avec l’Espagne pourrait bien achever d’isoler l’Argentine sur la scène internationale. De nombreux pays considèrent d’un mauvais œil la rhétorique incendiaire de Milei et sa tendance à attaquer personnellement d’autres dirigeants.

Déjà plongée dans une profonde crise économique, l’Argentine aurait pourtant bien besoin de garder de bonnes relations avec ses partenaires. Mais la posture va-tout-va de son président risque au contraire de lui aliéner de précieux soutiens.

Quelle sortie de crise possible ?

Pour l’heure, Milei campe sur ses positions et refuse tout mea culpa. Mais le rappel de l’ambassadrice espagnole est un signal fort qui pourrait le pousser à infléchir son attitude. Des excuses publiques seraient un premier pas pour tenter d’apaiser les tensions.

À défaut, cette crise pourrait dégénérer et coûter cher à l’Argentine, déjà fragilisée. Il en va aussi de la crédibilité internationale de Javier Milei. À force de collectionner les polémiques et de se mettre à dos d’autres dirigeants, il risque de devenir un président inaudible et inféquentable sur la scène mondiale. À moins qu’il ne change rapidement de logiciel…

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