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Meilleure Joueuse 2025 : Qui Décrochera le Titre ?

La finale de la Coupe du monde approche, et trois joueuses se disputent le titre de meilleure de 2025. Qui de Sophie De Goede, Megan Jones ou Jorja Miller l’emportera ? Suspense à Twickenham !

Alors que les projecteurs se tournent vers Twickenham pour la finale tant attendue de la Coupe du monde féminine de rugby, une question brûle toutes les lèvres : qui sera couronnée meilleure joueuse de l’année 2025 ? À une semaine de ce choc entre l’Angleterre et le Canada, trois noms se détachent pour ce titre prestigieux : Sophie De Goede, Megan Jones et Jorja Miller. Ces athlètes, par leur talent brut et leur impact sur le terrain, incarnent l’avenir du rugby féminin. Mais qu’est-ce qui rend leur nomination si captivante ? Plongeons dans cet univers où la puissance, la stratégie et l’émotion se mêlent.

Une Lutte au Sommet pour le Titre de Meilleure Joueuse

Chaque année, le titre de meilleure joueuse décerné par World Rugby est un moment clé pour célébrer l’excellence dans le rugby féminin. En 2025, la compétition est particulièrement relevée, avec trois joueuses aux profils aussi variés qu’impressionnants. Sophie De Goede, la Canadienne au leadership incontestable, Megan Jones, l’Anglaise au jeu percutant, et Jorja Miller, la jeune prodige néo-zélandaise, sont les finalistes. Mais au-delà des statistiques, c’est leur histoire, leur style et leur impact qui font vibrer les supporters.

Sophie De Goede : La Force Tranquille du Canada

Imaginez une joueuse capable de transformer un match par sa simple présence. Sophie De Goede, deuxième-ligne et buteuse d’exception, est cette force. Lors de la demi-finale face à la Nouvelle-Zélande, elle a brillé par sa capacité à dominer l’alignement adverse, tout en orchestrant le jeu avec une précision chirurgicale. Son leadership a été déterminant pour mener le Canada à une victoire éclatante (34-19) contre les Black Ferns.

Ce n’est pas seulement sa technique qui impressionne. De Goede incarne une résilience rare. À 26 ans, elle combine puissance physique et intelligence tactique, faisant d’elle une candidate idéale pour le titre. Comme le souligne un commentateur anonyme sur les réseaux sociaux :

Pour moi, c’est De Goede et de loin. Elle porte son équipe avec une classe inégalée.

Utilisateur anonyme

Sa constance tout au long du tournoi, marquée par des performances décisives, place la barre très haut pour ses concurrentes. Si le Canada soulève la Coupe du monde, il sera difficile de ne pas lui attribuer le trophée.

Megan Jones : L’Énergie Anglaise au Cœur du Jeu

En face, Megan Jones représente la fougue et la détermination de l’Angleterre, grande favorite de la compétition. Cette centre a marqué les esprits lors de la demi-finale contre la France (35-17), où son efficacité au sol et sa capacité à percer les défenses ont fait des ravages. À 28 ans, Jones allie expérience et explosivité, un cocktail redoutable qui fait d’elle une pièce maîtresse des Red Roses.

Son style de jeu, agressif et direct, contraste avec la finesse stratégique de De Goede. Jones excelle dans les duels physiques, souvent au cœur des rucks, où elle récupère des ballons cruciaux. Mais c’est aussi sa capacité à galvaniser ses coéquipières qui la distingue. Si l’Angleterre triomphe à domicile, Jones pourrait bien être la clé de voûte de cette victoire.

Fait marquant : Lors de la demi-finale, Megan Jones a réussi 12 plaquages décisifs, un record dans le match.

Jorja Miller : La Révélation Néo-Zélandaise

À seulement 21 ans, Jorja Miller est déjà un nom qui résonne dans le monde du rugby. Troisième-ligne des Black Ferns, elle a impressionné par sa polyvalence et son énergie débordante. Malheureusement, une blessure l’a privée de la demi-finale face au Canada, mais son impact tout au long de la Coupe du monde reste indéniable. Miller est également en lice pour le titre de révélation de l’année, une distinction qui reflète son ascension fulgurante.

Son absence en demi-finale a peut-être coûté cher à la Nouvelle-Zélande, mais son parcours reste remarquable. Avec une vitesse impressionnante et une lecture du jeu hors norme, Miller incarne la nouvelle génération du rugby féminin. Sa nomination dans deux catégories (meilleure joueuse et révélation) témoigne de son potentiel.

Les Autres Prétendantes au Titre de Révélation

Si Jorja Miller brille dans la catégorie des révélations, elle n’est pas seule. Braxton Sorensen-McGee, une autre Néo-Zélandaise de seulement 18 ans, a marqué les esprits avec neuf essais en cinq matches, un record dans la compétition. Sa compatriote et la Fidjienne Josifini Neihamu complètent ce trio prometteur. Ces jeunes talents montrent que le rugby féminin est en pleine effervescence.

Sorensen-McGee, en particulier, a captivé les foules par son audace et sa capacité à trouver les espaces. À l’inverse, Neihamu impressionne par sa puissance physique, souvent comparée à celle des grandes figures du rugby masculin. Leur présence dans cette catégorie souligne l’émergence d’une nouvelle vague de joueuses.

Joueuse Pays Points forts
Jorja Miller Nouvelle-Zélande Polyvalence, vitesse
Braxton Sorensen-McGee Nouvelle-Zélande Neuf essais, flair offensif
Josifini Neihamu Fidji Puissance, impact physique

Pourquoi Aucune Française Parmi les Nommées ?

La question taraude les supporters français : pourquoi aucune Bleue n’est en lice pour ces distinctions ? Malgré une Coupe du monde prometteuse, les Françaises ont été éclipsées par les performances individuelles des nommées. Pourtant, des joueuses comme Ellie Kildunne, sacrée meilleure joueuse en 2024, ont brillé. Son absence en quart de finale face à l’Écosse, en raison d’une blessure, a peut-être pesé dans la balance.

Les Bleues ont montré du courage, notamment lors de leur demi-finale face à l’Angleterre, mais elles ont été rattrapées par leurs limites, comme un manque de précision dans les moments clés. Cela n’enlève rien à leur talent, mais les performances individuelles de De Goede, Jones et Miller ont été jugées plus marquantes par les observateurs.

La Finale à Twickenham : Un Match Décisif

La finale de la Coupe du monde, qui opposera l’Angleterre au Canada, sera bien plus qu’un simple match pour le titre. Elle pourrait aussi déterminer la lauréate du trophée de meilleure joueuse. Sophie De Goede et Megan Jones, face à face sur la pelouse de Twickenham, auront l’occasion de prouver leur valeur sous les yeux du monde entier. Une performance exceptionnelle pourrait faire pencher la balance.

Pour De Goede, une victoire canadienne serait un exploit historique face à une Angleterre ultra-favorite. Pour Jones, un sacre à domicile renforcerait sa candidature. Quant à Miller, bien qu’absente de la finale, son impact tout au long du tournoi pourrait encore lui valoir des voix.

À savoir : Le trophée sera remis à l’issue de la finale, ajoutant une dose de suspense à cet événement déjà chargé d’émotion.

Les Autres Récompenses en Jeu

Outre le titre de meilleure joueuse, d’autres distinctions seront décernées après la finale. Le prix de l’entraîneur de l’année et celui de l’arbitre de l’année viendront récompenser les acteurs clés de cette Coupe du monde. Plus tard, l’équipe de l’année et le plus bel essai seront également dévoilés, prolongeant la fête du rugby féminin.

Ces récompenses, bien que moins médiatisées, jouent un rôle crucial dans la reconnaissance des efforts collectifs. Elles mettent en lumière les stratégies innovantes des entraîneurs et l’impartialité des arbitres, essentiels pour des matches de ce niveau.

Pourquoi le Rugby Féminin Gagne en Popularité

Le rugby féminin connaît une ascension fulgurante, et cette Coupe du monde en est la preuve. Avec des audiences historiques, comme celle enregistrée lors du match France-Angleterre, le sport attire de plus en plus de spectateurs. Les performances de joueuses comme De Goede, Jones et Miller y sont pour beaucoup. Leur talent, combiné à une couverture médiatique croissante, fait du rugby féminin un spectacle incontournable.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • Augmentation de 30 % des audiences télévisées pour la Coupe du monde féminine par rapport à 2021.
  • Plus de 50 000 spectateurs attendus à Twickenham pour la finale.
  • Record d’essais marqués dans le tournoi, avec une moyenne de 5,2 par match.

Cette dynamique est portée par des joueuses qui repoussent les limites du sport. Leur engagement, leur passion et leur talent redéfinissent le rugby et inspirent une nouvelle génération.

Et Après la Finale ?

Quel que soit le résultat de la finale, cette Coupe du monde marquera un tournant pour le rugby féminin. Les performances des nommées, qu’il s’agisse de De Goede, Jones ou Miller, resteront gravées dans les mémoires. Leur impact dépasse le simple cadre du terrain : elles incarnent une nouvelle ère pour le sport, où les femmes occupent une place centrale.

Alors, qui soulèvera le trophée de meilleure joueuse ? La réponse viendra samedi, sur la pelouse de Twickenham. En attendant, une chose est sûre : le rugby féminin n’a jamais été aussi captivant.

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