Aux sélections olympiques américaines d’athlétisme, le spectacle était sur la piste mais aussi en dehors. La superstar du sprint US Noah Lyles a survolé le 100m, décrochant avec brio son billet pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Véritable showman, il a électrisé le public avec un chrono canon et une célébration polémique.
Lyles en démonstration, malgré un vent défavorable
Christian Coleman, champion du monde 2019, échoue au pied du podium en 9 sec 93. Malgré un retour après une suspension pour manquements à ses obligations de localisation antidopage, il ne sera pas aligné sur la ligne droite aux JO. Une immense désillusion.
Mais en cette soirée, tous les regards étaient braqués sur le phénomène Noah Lyles. En combinaison rouge, il a assuré le spectacle avec de multiples facéties : entrée au stade déguisé aux côtés du rappeur Snoop Dogg, référence à la pop-culture avant le départ…
Une célébration polémique
Mais c’est après la course que Lyles a fait parler de lui. Assuré de sa victoire, il a longuement célébré avant même de franchir la ligne, bras écartés façon Usain Bolt. Un geste perçu comme arrogant, voire irrespectueux par certains.
Pas de quoi gâcher la joie du natif de Floride qui vise un triplé historique à Paris : 100m, 200m et 4x100m. Sans oublier le relais 4x400m dans lequel il rêve d’être aligné ! De quoi marquer à jamais de son empreinte l’histoire de l’athlétisme.
Paris 2024 en ligne de mire
Noah Lyles a envoyé un message fort à la concurrence mondiale. Lui qui n’avait décroché que le bronze à Tokyo sur 200m compte bien prendre sa revanche dans la capitale française en 2024. Les Jamaïcains, menés par Oblique Seville, sont prévenus.
La pression sera immense sur les épaules du prodige américain, mais il semble avoir les armes mentales et physiques pour y faire face. S’il parvient à réaliser son rêve olympique, nul doute qu’il célèbrera dignement sur la piste bleue du Stade de France. Les Jeux de Paris auront peut-être trouvé en lui leur nouvelle star.
Christian Coleman, champion du monde 2019, échoue au pied du podium en 9 sec 93. Malgré un retour après une suspension pour manquements à ses obligations de localisation antidopage, il ne sera pas aligné sur la ligne droite aux JO. Une immense désillusion.
Mais en cette soirée, tous les regards étaient braqués sur le phénomène Noah Lyles. En combinaison rouge, il a assuré le spectacle avec de multiples facéties : entrée au stade déguisé aux côtés du rappeur Snoop Dogg, référence à la pop-culture avant le départ…
Une célébration polémique
Mais c’est après la course que Lyles a fait parler de lui. Assuré de sa victoire, il a longuement célébré avant même de franchir la ligne, bras écartés façon Usain Bolt. Un geste perçu comme arrogant, voire irrespectueux par certains.
Pas de quoi gâcher la joie du natif de Floride qui vise un triplé historique à Paris : 100m, 200m et 4x100m. Sans oublier le relais 4x400m dans lequel il rêve d’être aligné ! De quoi marquer à jamais de son empreinte l’histoire de l’athlétisme.
Paris 2024 en ligne de mire
Noah Lyles a envoyé un message fort à la concurrence mondiale. Lui qui n’avait décroché que le bronze à Tokyo sur 200m compte bien prendre sa revanche dans la capitale française en 2024. Les Jamaïcains, menés par Oblique Seville, sont prévenus.
La pression sera immense sur les épaules du prodige américain, mais il semble avoir les armes mentales et physiques pour y faire face. S’il parvient à réaliser son rêve olympique, nul doute qu’il célèbrera dignement sur la piste bleue du Stade de France. Les Jeux de Paris auront peut-être trouvé en lui leur nouvelle star.
Dans des conditions météo délicates avec un vent de face, Noah Lyles a réalisé un temps exceptionnel de 9 secondes et 83 centièmes. Il égale ainsi son record personnel et s’affirme plus que jamais comme le grand favori pour l’or olympique à Paris. Pourtant habitué aux starting-blocks du 200m, il prouve sa polyvalence et son explosivité sur la ligne droite.
Je suis prêt.
Noah Lyles
Kenny Bednarek, la révélation
La surprise est venue de Kenny Bednarek, spécialiste du demi-tour de piste, qui termine à une prometteuse 2ème place en 9 sec 87. Il confirme sa montée en puissance sur le 100m et s’annonce comme un outsider à surveiller pour Paris.
Le podium est complété par le vice-champion olympique en titre Fred Kerley en 9 sec 88. Un chrono solide malgré des soucis de chaussures cette saison. L’densité au sein du sprint ricain est exceptionnelle.
La déception Christian Coleman
Christian Coleman, champion du monde 2019, échoue au pied du podium en 9 sec 93. Malgré un retour après une suspension pour manquements à ses obligations de localisation antidopage, il ne sera pas aligné sur la ligne droite aux JO. Une immense désillusion.
Mais en cette soirée, tous les regards étaient braqués sur le phénomène Noah Lyles. En combinaison rouge, il a assuré le spectacle avec de multiples facéties : entrée au stade déguisé aux côtés du rappeur Snoop Dogg, référence à la pop-culture avant le départ…
Une célébration polémique
Mais c’est après la course que Lyles a fait parler de lui. Assuré de sa victoire, il a longuement célébré avant même de franchir la ligne, bras écartés façon Usain Bolt. Un geste perçu comme arrogant, voire irrespectueux par certains.
Pas de quoi gâcher la joie du natif de Floride qui vise un triplé historique à Paris : 100m, 200m et 4x100m. Sans oublier le relais 4x400m dans lequel il rêve d’être aligné ! De quoi marquer à jamais de son empreinte l’histoire de l’athlétisme.
Paris 2024 en ligne de mire
Noah Lyles a envoyé un message fort à la concurrence mondiale. Lui qui n’avait décroché que le bronze à Tokyo sur 200m compte bien prendre sa revanche dans la capitale française en 2024. Les Jamaïcains, menés par Oblique Seville, sont prévenus.
La pression sera immense sur les épaules du prodige américain, mais il semble avoir les armes mentales et physiques pour y faire face. S’il parvient à réaliser son rêve olympique, nul doute qu’il célèbrera dignement sur la piste bleue du Stade de France. Les Jeux de Paris auront peut-être trouvé en lui leur nouvelle star.
Dans des conditions météo délicates avec un vent de face, Noah Lyles a réalisé un temps exceptionnel de 9 secondes et 83 centièmes. Il égale ainsi son record personnel et s’affirme plus que jamais comme le grand favori pour l’or olympique à Paris. Pourtant habitué aux starting-blocks du 200m, il prouve sa polyvalence et son explosivité sur la ligne droite.
Je suis prêt.
Noah Lyles
Kenny Bednarek, la révélation
La surprise est venue de Kenny Bednarek, spécialiste du demi-tour de piste, qui termine à une prometteuse 2ème place en 9 sec 87. Il confirme sa montée en puissance sur le 100m et s’annonce comme un outsider à surveiller pour Paris.
Le podium est complété par le vice-champion olympique en titre Fred Kerley en 9 sec 88. Un chrono solide malgré des soucis de chaussures cette saison. L’densité au sein du sprint ricain est exceptionnelle.
La déception Christian Coleman
Christian Coleman, champion du monde 2019, échoue au pied du podium en 9 sec 93. Malgré un retour après une suspension pour manquements à ses obligations de localisation antidopage, il ne sera pas aligné sur la ligne droite aux JO. Une immense désillusion.
Mais en cette soirée, tous les regards étaient braqués sur le phénomène Noah Lyles. En combinaison rouge, il a assuré le spectacle avec de multiples facéties : entrée au stade déguisé aux côtés du rappeur Snoop Dogg, référence à la pop-culture avant le départ…
Une célébration polémique
Mais c’est après la course que Lyles a fait parler de lui. Assuré de sa victoire, il a longuement célébré avant même de franchir la ligne, bras écartés façon Usain Bolt. Un geste perçu comme arrogant, voire irrespectueux par certains.
Pas de quoi gâcher la joie du natif de Floride qui vise un triplé historique à Paris : 100m, 200m et 4x100m. Sans oublier le relais 4x400m dans lequel il rêve d’être aligné ! De quoi marquer à jamais de son empreinte l’histoire de l’athlétisme.
Paris 2024 en ligne de mire
Noah Lyles a envoyé un message fort à la concurrence mondiale. Lui qui n’avait décroché que le bronze à Tokyo sur 200m compte bien prendre sa revanche dans la capitale française en 2024. Les Jamaïcains, menés par Oblique Seville, sont prévenus.
La pression sera immense sur les épaules du prodige américain, mais il semble avoir les armes mentales et physiques pour y faire face. S’il parvient à réaliser son rêve olympique, nul doute qu’il célèbrera dignement sur la piste bleue du Stade de France. Les Jeux de Paris auront peut-être trouvé en lui leur nouvelle star.